jeudi 11 mars 2010

gurrumul / geoffrey gurrumul yunupingu

en premier, la langue ; lasse d’écouter des chansons dans la langue des affaires même si ggy n'y résiste pas totalement, je découvre ici un des dialectes -code inconnu en Unimarc, clin d'œil aux discothécaires de tous les pays du peuple Yolngu ; que je ne comprenne pas cette langue... peu importe ! l’anglais non plus, ni celle de l’opéra, ni même ma propre langue parfois.

et la guitare ; on dirait qu’il joue de la main gauche une guitare pour droitier et ce mouvement de bas en haut change la donne musicale ; j’aimerais dire, je le dis, ça s’entend même quand on ne le regarde pas.

et la voix ni acide ni basique ni neutre, un exploit chimique, une formule inédite.

et…

je vous laisse écrire la dernière phrase et celle d’après.

1 commentaire:

mamie"nainai" a dit…

Kun-ting s'est endormi au son de ces berceuses, ni en chinois ni en français :cette langue de la musique universelle que même sa"nainai" en pleure de bonheur mélangé de mélancolie, au terme d'une journée riche en émotions .Merci