elle ne parle pas elle ne rit pas, rien de ce qu'elle vit n'est aux éclats ; juste un sourire au coin des lèvres, un oui un non la fin d'une trêve.
quand on la regarde dans le bleu des yeux, on voudrait sentir la flamme jaillir du fardeau de sa vie ; elle voit pour nous -c'est un peu flou- le "haut-delà" des apparences.
elle dit qu’elle n’aime rien ni personne, que petites et grandes gens l’assomment ; elle ne veut plus s’attarder à combler le vide et le silence par des petites choses sans importance.
et depuis qu'elle cherche les réponses aux questions qu'on garde pour soi, elle a trouvé la solution aux libertés qu'on lui impose et, c'est ainsi, elle est entrée dans le soleil et s'est brûlée
maintenant qu'elle est de l'autre côté, on dit d'elle qu'elle était aimable mais qui, oui qui, l'aura aimée ?
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